- Mise en œuvre de tous types de démolitions, débarras des caves et des greniers
- Réalisation de tous types de sols maçonnés : dalles en béton armé, chapes en ciment, en béton allégé, ragréages…
- Création / Modification des cloisonnements : carreaux de plâtre, sur ossature métallique, parpaings, briques, béton cellulaire…
- Pose de menuiseries en bois, PVC ou aluminium : portes palières, d’intérieur, de garage, portes-fenêtres, fenêtres, velux…
- Isolation thermique et/ou phonique des sols, des murs par l’intérieur ou l’extérieur, des combles…
- Réalisation des plafonds, faux plafonds, plafonds plâtre traditionnels
- Enduisages divers, travail du plâtre et du ciment
- Carrelage des sols et des murs, travail de la faïence, du marbre et de la pierre
- Création / rénovation des cheminées, foyers et conduits
CRÉATION D’UNE DALLE
Il faut bien distinguer la dalle de la chape. Une dalle est un ouvrage "en béton de forte épaisseur" reposant sur son support qui peut recevoir un revêtement.
La chape est une couche de mortier généralement à base de ciment, de résine ou de chaux que l’on applique au sol. Elle a pour but de niveler et/ou d'aplanir le support (ex : dalle) afin de recevoir un revêtement ou de servir de sol fini.
Les préalables :
Avant toutes choses, il convient de rassembler des renseignements sur la nature du sol afin de déterminer la faisabilité du projet et les contraintes liées à la création de la dalle (terrain avec forte pente, terrain inondable, arbre à proximité, anciennes carrières…). Les informations peuvent être récupérées auprès des services techniques municipaux.
Les normes applicables à la création d’une dalle varient en fonction de la nature des locaux ainsi les maisons individuelles ne sont pas soumises aux mêmes contraintes que les locaux à usage industriel ou que les habitations collectives.
Préparation du sol :
- Débarrasser le sol des végétaux, déchets et gravois
- Nivellement horizontal du sol de manière grossière
- incorporation, si besoin, d’un matériau dans le but d’améliorer la compacité de l’assise
La couche de forme :
La couche de forme, constitue la fondation de la dalle et doit avoir une épaisseur minimale de 20 cm. Elle doit être composée de matériaux chimiquement neutres qui ne comportent pas de gravois. On peut donc utiliser cailloux, graviers, sables mélangés ou non et tout-venant (sont à bannir le plastique et les matériaux sensibles à l’eau). Il est impératif de répandre et de compacter les matériaux sur l’intégralité de la forme. Un lit de sable de 5 cm (ou mortier maigre de 3 cm) devra également être répandu sur la partie supérieure de la forme.
En présence d’un sol homogène, non humide et stable la couche de forme n’est pas indispensable (ex : terre battue sèche et compacte).
L’interface :
Afin d’éviter la remontée de l’humidité, un film anticapillaire (ex : film en polyéthylène de 150 µm minimum) peut-être nécessaire. De plus une couche isolante peut-être envisageable, elle devra alors être indéformable et peu élastique (ex : isolant en polystyrène expansé de 60 mm).
Le dallage :
L’épaisseur minimum d’une dalle est de 12 cm et obligatoirement armé pour une maison individuelle, 13 cm (armé ou non) pour local à usage autre qu’industriel ou assimilé et de 15 cm (armé ou non) pour un local de type industriel ou assimilé.
Il existe deux types de dallage :
- Dallage désolidarisé de la structure : il permet une isolation horizontale sous l’ensemble de la surface du dallage et également en périphérique. Cependant, le sol se trouvant sous les fondations de la structure peut se tasser de manière différente de celui se trouvant sous la dalle. Il est donc important de créer des joints d’isolement au contact des éléments verticaux de la construction (poteaux, murs…) afin d’éviter l’apparition de fissures. Ce type de dallage nécessite également un sol stable et compacté sur l’intégralité de la surface de la dalle afin d’éviter des affaissements différents du sol entre le centre et les extrémités
- Dallage solidarisé à la structure : permet une isolation horizontale sous l’ensemble de la surface mais pas sur les extrémités à moins d’isoler par l’extérieur. Les extrémités du dallage solidaire doivent comporter des « U » de fermeture en acier de 8 mm de diamètre
L’armature :
Le dallage armé comporte des treillis soudé posés sur des cales pour réaliser un enrobage conforme. Selon la nature des locaux le pourcentage minimum d’acier est différent :
- Dallage de maisons individuelles : le pourcentage minimum de l’armature en acier est de 0.2% de la section du dallage
- Dallage de type industriel ou assimilé: le pourcentage minimum de l’armature en acier est de 0.4% et le diamètre des armatures doit être inférieur ou égal à 1/15e de l’épaisseur du dallage
- Dallage ayant un usage autre qu’industriel ou assimilé : il comporte une section minimale d’armature de 5 cm2/m dans chaque sens
Rappelons que les dallages de type industriel ou à usage autre qu’industriel ne sont pas obligatoirement armés et que la quantité d’aciers dépendra des charges supportées par le dallage.
Il est possible d’ajouter au béton des fibres métalliques ou synthétiques qui permettent de réduire l’apparition des fissures.
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